Le vin rouge a le goût de la haine qui ne part pas Les hommes n’écouteront pas l’empereur Aujourd’hui il enfilera son pare-balles Proche de la guerre y’a l’amour mais Tous les enfants ne le savent pas Père de famille joue un rôle car Au moindre problème il n’assume pas Arrogant il est mais c’est rien, car Derrière son masque il est ringard Il n’ira pas seul dans l’arène non Il reste derrière les remparts Et les braves, ne mentent jamais Ils sont fiers, de rendre jaloux les autres Mais c’est ce qui les rend faibles Les femmes, charmées par le mal Deviendront des fantômes Juste parce qu’on leur demande
À qui, qui la faute Et c’est toi ou c’est les autres Mais qui (qui) est l’un des nôtres Des fois c’est les traîtres Le monde est moche Alors que c’est le nôtre disait le vieux assis sur les marches On est mieux chez soi, vu qu’on n’est rien chez eux
Les pauvres aiment les riches Mais les riches n’aiment pas les pauvres Car les riches avant de l’être, ont dû agir comme des pauvres La roue tourne toujours Quand le karma s’en mêle On connaît les règles du jeu donc On n’a pas le cran de s’aimer Le grand est con, le petit est beau Mais ils rendent des comptes au même roi Ils finissent par croire que c’est le roi des cons Jusqu’à ce qu’ils se retrouvent tous les trois La guerre est courte, la paix est longue Mais la guerre paraît bien plus calme Car la paix emmène à la guerre et sans le faire exprès tout le monde a des armes Et les braves cette fois ne peuvent rien y faire Car les autres sont trop nombreux Ils sont devenus des faibles Et les femmes ne sont plus vraiment belles N’ont plus l’air tellement fières d’être attirées par des faibles
À qui, qui la faute Et c’est toi ou c’est les autres Mais qui (qui) est l’un des nôtres Des fois c’est les traîtres Le monde est moche Alors que c’est le nôtre disait le vieux assis sur les marches On est mieux chez soi, vu qu’on n’est rien chez eux