BUMPY – Alonzo

Mourir du P38, mourir du COVID
Quand la barrette s’effrite, wallah on cogite
2-0-22, papy, c’est torride
Mes prières j’les prends comme le SP, j’te jure, ça corrige
Plusieurs au départ, la moitié perdue au premier virage
Et j’ai pu lire la peine de mama sur son visage
Soudé dans l’ghetto, c’est qu’une image
Aujourd’hui ça cherche à t’faire la peau pour du grammage
Quand j’veux savoir c’qui s’passe dehors, j’dois appeler dedans
Que c’est physique, ma, ça change pas les plans
On sait très bien qu’ça vient du nord, on sait très bien qu’c’est violent
Et qu’y a pas de Terminator sur la planète des vivants

Un bingo, une partie d’cartes, une table de billard
Les cerveaux gazés au haschich, rêve de faire des milliards
Dans ce monde, presque tout est faux, rien ne sert de prier
La tristesse ne fait pas écho, rien ne sert de crier
Avoir la hess, faut venir voir (Faut venir voir), faut venir voir (Faut venir voir)
Quand vient l’soir (Quand vient l’soir), on s’met à boire
Ils nous ont menti toute notre vie, il nous reste qu’à prier
La tristesse ne fait pas écho, rien ne sert de crier

Avoir la vie de Bumpy coûte cher
Cette vida coûte chère
Tu perds des bouts d’chair
Quand monte l’adrénaline juste pour un bout d’terre
Ça s’prend à coup d’guerre
On s’croirait vivre à Medellín
Avoir la vie de Bumpy coûte cher
Cette vida coûte chère
Tu perds des bouts d’chair
Quand monte l’adrénaline juste pour un bout d’terre
Ça s’prend à coup d’guerre
On s’croirait vivre à Medellín

Ils ont pas eu d’vélo, ils veulent le Velar
Fœtus devenu fêtard (Fêtard)
Ils ont levé l’ancre, pourtant levé l’arme
Pourquoi j’parle de la même chose ?
La gamberge est pessimiste
On côtoie plus de chimiste qu’on connaît de pessimiste
Une liasse violette dans le jean Amiri
On t’considère pour ce que tu as, tes émotions faut gérer
Y a plus d’exemples, les derniers d’la classe se prennent pour des génies
Y a que d’la trahison, les comptes de la confiance sont gelés
Sous vovo, dans l’GLA, à regarder les étoiles
À regarde c’que fait l’autre
Avoir envie d’mettre les voiles
Ne plus regarder sa montre parce que le temps nous aide pas
On n’est pas né avant la honte pour ça qu’le froc on baisse pas

Un bingo, une partie d’cartes, une table de billard
Les cerveaux gazés au haschich, rêve de faire des milliards
Dans ce monde, presque tout est faux, rien ne sert de prier
La tristesse ne fait pas écho, rien ne sert de crier
Avoir la hess, faut venir voir (Faut venir voir), faut venir voir (Faut venir voir)
Quand vient l’soir (Quand vient l’soir), on s’met à boire
Ils nous ont menti toute notre vie, il nous reste qu’à prier
La tristesse ne fait pas écho, rien ne sert de crier

Avoir la vie de Bumpy coûte cher
Cette vida coûte chère
Tu perds des bouts d’chair
Quand monte l’adrénaline juste pour un bout d’terre
Ça s’prend à coup d’guerre
On s’croirait vivre à Medellín
Avoir la vie de Bumpy coûte cher
Cette vida coûte chère
Tu perds des bouts d’chair
Quand monte l’adrénaline juste pour un bout d’terre
Ça s’prend à coup d’guerre
On s’croirait vivre à Medellín
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