Constat 2.0 – Yaro

J’écoute pas c’qui se passe à la télé’ (Télé’)
Y a des familles entières qui dorment au tel-hô (Tel-hô)
L’huissier ne laissera pas de délais (Délais)
J’veux des billets violets comme Donatello, bah ouais

Enfoiré, on ira pas tous au paradis (Paradis)
Tu baratines vers la monnaie, on part à dix (Part à dix)
Il pleut des balles, tout le monde n’a pas de parapluie (Parapluie)
Kevin t’appose la marque au douma Barragi

Et tu l’sais, on peut retrouver ton corps sans vie dans une cave
(Cave, cave)
Combien d’frères sont bés-tom ?
Est-ce que Adama a dit : « Maman, ce soir j’rentrerais pas » ?
(Pas, pas)

La vie est un combat, on vit au jour le jour
Un jour on partira sans vous laisser aucune trace
J’suis un gosse du béton, j’trahis pas la Honda
J’trahis pas pour une tasse
(‘Tasse, ‘tasse, ‘tasse)

Et la nuit, je dors pas, je suis dans mon coin
Et je constate que plus rien n’est comme avant
(Et que plus rien n’est comme avant)
La défense c’est l’attaque (Han)
Mais les policiers s’en prennent aux gens sans défense
(Prennent aux gens sans défense)

Et la nuit je dors pas, je suis dans mon coin
Et je constate que plus rien n’est comme avant
(Et que plus rien n’est comme avant)
La défense c’est l’attaque (Han)
Mais les policiers s’en prennent aux gens sans défense
(Prennent aux gens sans défense)

Et la nuit, je dors pas, j’appelle la chance
Mais y’a que la poisse qui m’rappelle
(Qui m’rappelle, qui m’rappelle)
J’voulais même la kidnapper, j’suis pas le seul qui l’a pas
Mes re-frèrots sentent ma peine
(Sentent ma peine, sentent ma peine)

Jamais là lors du diner, charbonner ou dealer
Euros, dollars, dinars
(Dinars, dinars)
À la misère je dis non, je m’éloigne du Djinn
Que Dieu me fasse un signe
(Signe, signe)

Et les derniers seront les premiers (Premiers)
Tu sais (Sais, sais)
J’ai passé mon temps à donner, donner (Donner, donner)
Tu sais

Oublient le bien n’retiennent que le mauvais (‘Vais, ‘vais)
Tu sais (Sais, sais)
Et ta chance personne ne va te la donner, donner (Donner, donner)
Tu sais (Sais)

Et la nuit, je dors pas, je suis dans mon coin
Et je constate que plus rien n’est comme avant
(Et que plus rien n’est comme avant)
La défense c’est l’attaque (Han)
Mais les policiers s’en prennent aux gens sans défense
(Prennent aux gens sans défense)

Et la nuit, je dors pas, je suis dans mon coin
Et je constate que plus rien n’est comme avant
(Et que plus rien n’est comme avant)
La défense c’est l’attaque (Han)
Mais les policiers s’en prennent aux gens sans défense
(Prennent aux gens sans défense)

Et la nuit, je dors pas, je suis dans mon coin
Et je constate que plus rien n’est comme avant
(Et que plus rien n’est comme avant)
La défense c’est l’attaque (Han)
Mais les policiers s’en prennent aux gens sans défense
(Prennent aux gens sans défense)

Et la nuit, je dors pas, je suis dans mon coin
Et je constate que plus rien n’est comme avant
(Et que plus rien n’est comme avant)
La défense c’est l’attaque (Han)
Mais les policiers s’en prennent aux gens sans défense
(Prennent aux gens sans défense)

Que plus rien n’est comme avant
Et que plus rien n’est comme avant
Et que plus rien n’est comme avant
Et que plus rien n’est comme avant
www.pillowlyrics.com
error419786
fb-share-icon497975
Tweet 88k
fb-share-icon20