Comme un menteur tout seul face au miroir Dans la moiteur dans les songes du soir Ce n’était rien qu’un feu qu’une fois J’étais loin de tes yeux de ta voix Une sirène qui me tendait les bras
Dans la machine Du temps qui m’assassine Souvent je redessine A l’heure où tu dors
Ce monde où j’imagine Que nos corps et nos cœurs sont d’accord Chaque jour je m’abîme Plus tu m’aimes et moins je me sens fort J’ai traversé mes torts
Les effluves et les fleuves de remords Ce monde où j’imagine Que tu pardonnes ce que tu ignores Quand tu dors Quand tu dors
Évidement la vérité fait mal En attendant le mensonge s’installe J’ai voulu trouver mieux sous son aile Et je me suis craché sous ton ciel Le saut de l’ange pour des nuits infernales
Dans la machine La douleur me fascine Alors je m’y destine Je pleure et j’implore
Ce monde où j’imagine Que nos corps et nos cœurs sont d’accord Chaque jour je m’abîme Plus tu m’aimes et moins je me sens fort J’ai traversé mes torts
Les effluves et les fleuves de remords Ce monde où j’imagine Que tu pardonnes ce que tu ignores Quand tu dors Quand tu dors
Ce monde où j’imagine Chaque jour je m’abîme
Ce monde où j’imagine Que nos corps et nos cœurs sont d’accord Chaque jour je m’abîme Plus tu m’aimes et moins je me sens fort J’ai traversé mes torts
Les effluves et les fleuves de remords Ce monde où j’imagine Que tu pardonnes ce que tu ignores Quand tu dors Quand tu dors