Chacun parle sa propre langue Très souvent elle tangue entre le Yin et le Yang Tu me retiens, tu me mets des sangles Quand tu vas trop loin, il arrive que je m’étrangle
Les mots de ma pensée m’ont parfois dépassé Pour une fois, viens on efface Oublions nos beautés, on s’est mis de côté J’veux qu’on se regarde bien en face
Je ne squatterai plus les rues de ma peine Quand j’suis perdu, j’veux que tu me ramènes J’veux qu’on aille bien, j’veux qu’on aille loin Et qu’on traîne Je ne squatterai plus les rues de ma peine L’amour ça tue sauf quand tu te démènes J’veux qu’on fasse bien, j’veux qu’on s’taille loin Et qu’on traîne
Le ton monte, on descend la pente Parfois je me plante entre l’amie et l’amante Les démons chantent et nous démentent Pour te préserver, est-ce qu’il faut que je te mente?
Suspendus sans arrêt au fil de nos marées Une vague à l’âme qui nous dépasse Collés à nos égos posés comme des Lego J’veux qu’on se laisse un peu d’espace
Je ne squatterai plus les rues de ma peine Quand j’suis perdu, j’veux que tu me ramènes J’veux qu’on aille bien, j’veux qu’on aille loin Et qu’on traîne Je ne squatterai plus les rues de ma peine L’amour ça tue sauf quand tu te démènes J’veux qu’on fasse bien, j’veux qu’on s’taille loin Et qu’on traîne
Même si le vent souffle en rafale Le temps idéal c’est quand on se met à l’abri Pour mater les étoiles
Je ne squatterai plus les rues de ma peine Quand j’suis perdu, j’veux que tu me ramènes J’veux qu’on aille bien, j’veux qu’on aille loin Et qu’on traîne Je ne squatterai plus les rues de ma peine L’amour ça tue sauf quand tu te démènes J’veux qu’on fasse bien, j’veux qu’on s’taille loin Et qu’on traîne