Tu t’arranges, c’est étrange pour être sur mon chemin C’est pas que ça me dérange, c’est devenu quotidien Tu prends l’avion et le train, pardon mais on dirait bien Que toute ta vie, c’est vivre ma vie
Tu m’adores, tu me détestes, t’es plus collant que la peste Pour un peu d’or indigeste, tu vends chacun de mes gestes As-tu vraiment dans le cœur un défaut de bonheur ? Mais qu’est-ce qui va de travers ? Mais qu’est-ce qui te rend fier ?
Où que j’aille, paparazzo Tu me poursuis, tu appuies où ça fait mal Où que j’aille, paparazzo Tu auras jamais que ce que je dévoile
Tu espères là dans l’ombre que je pleure ou que je m’effondre Ton regard est tellement sombre qu’il en déforme le monde As-tu vraiment dans le cœur un défaut de bonheur ? Mais qu’est-ce qui va de travers ? Mais qu’est-ce qui te rend fier ?
Où que j’aille (Où que j’aille), paparazzo (Paparazzo) Tu me poursuis, tu appuies où ça fait mal Où que j’aille (Où que j’aille), paparazzo (Paparazzo) Tu auras jamais que ce que je dévoile
Je dis « Go », fais des dégâts, ma jolie paranoïa Du bout des doigts, c’est fantastique Le monde shoote, le monde clique
Je dis « Go », fais des dégâts, ma jolie paranoïa Je me capte, tu es mon selfie Un, deux, trois
Où que j’aille (Où que j’aille), paparazzo (Paparazzo) Tu me poursuis, tu appuies où ça fait mal Où que j’aille (Où que j’aille), paparazzo (Paparazzo) Tu auras jamais que ce que je dévoile (Et ce que ce que je dévoile) (Que ce que je dévoile) (Paparazzo) (Paparazzo)