Recital – Alkpote

Personne n’a jamais cru en moi, personne n’a jamais cru en moi, pute, pute
Rembourse-moi tout c’que tu m’dois, rembourse-moi tout c’que tu m’dois, vite, vite
Personne n’a jamais cru en moi, personne n’a jamais cru en moi, pute, pute
Rembourse-moi tout c’que tu m’dois, rembourse-moi tout c’que tu m’dois, vite, vite

Seul dans une rue déserte, fric est en sûreté mec
La banlieue Sud est prête, vaut mieux qu’tu répètes
J’ai aucune défaite, pute t’es stupéfaite
Tu vas m’sucer net près d’la supérette
J’plane au dessus d’ces bêtes, Missile Sud les guette (piou piou),
Faut pas qu’tu t’permettes d’aller insulter l’maître (pute)
Un jour, j’assumerai p’t-être (un jour), je compte plus les dettes (nan)
J’ai pas r’çu tes lettres, j’suis toujours sur les nerfs (voilà)
J’ai dû grandir, j’parle de trucs sensibles
Trop de substances prises et d’sucre dans l’pif (sniff)
Plus l’temps d’rire, j’suis caché dans la buanderie
C’est durement qu’j’biffle des putes en string (salope)
J’fume en ville, calcule plus le nombre de cul qu’j’empile
Suce tranquille l’ustensile (fume)
Tu t’languis, te tortille comme une anguille
T’as qu’une envie : qu’j’t’encule dans l’lit (qu’j’t’encule)

J’suis bien trop loin pour pouvoir m’arrêter (pute, pute, pute, pute)
Y a trop d’épreuves qu’j’ai traversé (pu-pu-pu-pute)
Plus l’temps d’jouer à chat perché (pu-pu-pu-pute)
J’caresse des corps tatoués, des chattes percées (baw, baw, baw, baw)
J’suis bien trop loin pour pouvoir m’arrêter (pu-pu-pu-pute)
Y a trop d’épreuves qu’j’ai traversé
Plus l’temps d’jouer à chat perché (pu-pu-pu-pute, pu-pu-pu-pute)
J’caresse des corps tatoués, des chattes percées

Je laisse tous ces minables entres eux (tous), je prends que des virages dangereux (nion)
Dans mon joint, je mets dix grammes en beuh (fume), j’suis sous traitement médicamenteux (pute)
Dans mon cerveau, les rimes s’assemblent, c’t’année, j’ai des disques à vendre (squa)
L’argent : le véritable enjeu, j’calcule tous les risques à prendre (guette)
Faut que je saisisse ma chance, qu’j’éjacule sur ces visages d’anges (splash)
J’dois régler le crédit d’la banque, y a pas qu’devant Elvira qu’j’bande ((pute))
C’est te baiser délicatement qu’j’veux, arrêter, bien évidemment qu’j’peux
J’ai composé c’récital dans l’feu, fonce-dé d’vant une série allemande (woaw)
La perche que t’hésites à m’tendre, j’te l’enfonce, ça délie ta langue (ouh)
Allez, va ranger vite ta chambre ou on divise ton héritage en deux (pu-pu-pu-pute)
J’t’égorge avec l’épée de Damoclès (de Damoclès)
Dans l’avion, j’me fais draguer par l’hôtesse (suce pute)
Fais couler l’magma, la vérité éclat’ra
J’frappe comme Ben Arfa ou Alexandre Benalla (boum)
Hola qué pasa ? Gros, faut éviter l’card-pla (pute)
J’ai ôté l’parka, l’t-shirt du Che Guevara (Che)
J’fume du ketama ou d’la frappe du Nebraska (fume)
Souhaite “bon débarras” aux keufs dans l’Opel Astra (pute)
L’rap c’est théâtral, un peu comme leur thème astral (suce)
Les tasses-pé avalent, les putains d’tes-traî cavalent

J’suis bien trop loin pour pouvoir m’arrêter (pute, pute, pute, pute)
Y a trop d’épreuves qu’j’ai traversé (pu-pu-pu-pute)
Plus l’temps d’jouer à chat perché (pu-pu-pu-pute)
J’caresse des corps tatoués, des chattes percées (baw, baw, baw, baw)
J’suis bien trop loin pour pouvoir m’arrêter (pu-pu-pu-pute)
Y a trop d’épreuves qu’j’ai traversé
Plus l’temps d’jouer à chat perché (pu-pu-pu-pute, pu-pu-pu-pute)
J’caresse des corps tatoués, des chattes percées

Personne n’a jamais cru en moi, personne n’a jamais cru en moi, pute, pute
Rembourse-moi tout c’que tu m’dois, rembourse-moi tout c’que tu m’dois, vite, vite
Personne n’a jamais cru en moi, personne n’a jamais cru en moi, pute, pute
Rembourse-moi tout c’que tu m’dois, rembourse-moi tout c’que tu m’dois, vite, vite
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